Saïd Aït Messaoudène

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Saïd Aït Messaoudène
Illustration.
Fonctions
Ministre de l'Industrie légère

(4 ans, 10 mois et 14 jours)
Président Chadli Bendjedid
Premier ministre Mohamed Ben Ahmed Abdelghani
Gouvernement Abdelghani I
Abdelghani II
Abdelghani III
Prédécesseur Belaïd Abdesselam
Successeur Zitouni Messouadi
Ministre de la Santé

(1 an, 10 mois et 13 jours)
Président Houari Boumédiène
Premier ministre Houari Boumédiène
Gouvernement Boumédiène IV
Prédécesseur Omar Boudjellab
Successeur Abderrezak Bouhara
Ministre des Postes et Télécommunications

(4 ans, 4 mois et 5 jours)
Président Houari Boumédiène
Premier ministre Houari Boumédiène
Gouvernement Boumédiène III
Prédécesseur Mohamed Kadi
Successeur Mohamed Zerguini
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Had-Sahary, Djelfa
Date de décès (à 75 ans)
Lieu de décès Alger
Nationalité Algérienne
Parti politique FLN
Profession Pilote
Homme politique
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Saïd Aït Messaoudène, né le à Had-Sahary dans l'actuelle wilaya de Djelfa et mort le à Alger, est un homme politique Kabyle.

Biographie

Jeunesse

Saïd Aït Messaoudène naît le 25 juillet 1933 dans la municipalité de Had-Sahary, dans l'actuelle wilaya de Djelfa, issus d'une famille conservatrice Kabyke qui vivait dans le coin d'Ain Aghlal dans laquelle il a appris le Saint Coran et après avoir terminé la phase élémentaire, il a déménagé dans la ville de Blida avec son oncle pour poursuivre ses études terminales. Afin d'ouvrir le concours d'études à la Faculté d'Aviation en France au lycée technique du Bosphore, d'obtenir un baccalauréat avec une note de « très bon », et d'entrer au Collège Militaire en deuxième classe de l'école « Salon de Provence » à Marseille en 1955 et il était en tête des élèves réussis du lot.

Pendant la révolution algérienne

Aït Messaoudène a été choisi dans le cadre des forces de l'OTAN à la base de Marrakech, au Maroc, après quoi il a organisé des contacts avec l'Armée de libération, à la suite d'une rencontre avec Boudaoud, le second Abdelhafid Boussouf, en 1957, qui a conduit à son recrutement en faveur de la révolution algérienne, depuis son emplacement à Marrakech et les autorités coloniales françaises ont découvert son ordre après l'avoir reçu. Pour des informations sur Saïd Aït Messaoudène, il a conduit à son exil à la caserne Columar en France, mais cela n'a pas manqué à sa détermination à rejoindre les rangs de la révolution, alors que les dirigeants de la révolution planifiaient une opération Son évasion de la caserne pour rejoindre à nouveau l'armée de libération d'Allemagne après avoir été reçu par l'ambassadeur du gouvernement intérimaire algérien, Abdelhafid Kirman, qui se dirigeait vers l'Italie puis est entré en Tunisie en 1958, où il a été chargé de former des pilotes algériens dans plusieurs pays amis, dont la Chine, l'Union soviétique et l'Irak, car il était l'un des premiers pilotes algériens.

Après l'indépendance

Après l'indépendance de l'Algérie en 1962, Aït Messaoudène supervise la formation de l'armée de l'air algérienne, puis est nommé conseiller du président Houari Boumédiène.

Après un certain temps, il est nommé directeur d'Air Algérie. Il occupe ensuite des postes ministériels, dont celui de ministre des Postes et Télécommunications du 18 décembre 1972 au 23 avril 1977, de ministre de la Santé du 23 avril 1977 au 8 mars 1978[1], puis ministre de l'Industrie légère du 8 mars 1979 au 22 janvier 1984. Son dernier poste politique, entre les années 1987 et 1992, est le poste de vice-président du parlement algérien. Il se retire ensuite de toute action politique.

Mort

Saïd Aït Messaoudène meurt le des suites d'une maladie en phase terminale à l'hôpital militaire d'Aïn Naadja d'Alger ; il est inhumé au cimetière d'El Alia.

Références

  • (ar) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en arabe intitulé « سعيد آيت مسعودان » (voir la liste des auteurs).
  1. https://web.archive.org/web/20160303172837/http://www.joradp.dz/JO6283/1972/102/FP1307.pdf
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